[color=red]$$$$$$LAS VEGAS $$$$$$[/color]

Prologue

Las Vegas, la ville qui conquit le désert, où la température bat des records, laissant la part belle aux casinos et leurs salles de jeux climatisés. Ville de luxure et de décadence humaine, où les joueurs ne dorment jamais, les laissant aux portes de la ville une fois dépouillés ou dans un des nombreux trous creusés par les mafieux .Ville aux mille et une lumières, aux larges avenues la traversant de tout ce flot de véhicule hétéroclites. L’eldorado pour beaucoup de monde mais pour la famille Montana l’une des plus anciennes familles mafieuses, celle-ci était plutôt synonyme de meurtre. La famille Montana possédait l’un des vestiges de l’air mafieuse à Las Vegas : l’Horus’casino .C’était le plus ancien et l’un des plus rentable de tout les centres de jeux. Il avait échappé à la rénovation de la ville, qui au passage étouffa la fin des casinos mafieux. .Cela même qui avaient fait les beaux jours de toutes ces grosses pontes .Qui malheureusement, avec leurs envies de toujours en vouloir plus et une gérance catastrophique, avaient été vite mis dans la ligne de mire du FBI,qui ferma uns à uns tout leurs casinos . Les Montana avaient réussis un coup de pokers dans cette ville du vice. Grâce à la famille Carmine, qui mit à la tête de ce mastodonte, l’un des directeurs les plus doué de sa génération : Max Dévide. Ajouté à cela quelques dessous de table bien dispatché à ceux qui ont le pouvoir, l’Horus’ avait été blanchi et avait pus rester sur ses fondations solides.

L’Horus’ était un casino qui en mettait plein la vus il avait subit une rénovation qui lui redonnait jeunesse. Palmiers et pyramides égyptiennes imposaient de toutes leurs splendeurs, Sphinx et autres statues de dieux égyptiens trônaient majestueusement devant l’entrée. Un tapis rouge recouvrait les marches et le trottoir, se fessant piétinait par des voituriers, s’affairant à accueillir les limousines et autres voitures de prestiges. Des néons à la lumière vive illuminaient de mille feux le hall où attendaient une multitude de badaud pour voir le luxe de toutes ces personnes sortant de leurs carrosses dorés. Des joueurs assidus,des accros, des hommes d’affaires ,des jeunes mariés ,des femmes avides de grosse fortune et tout autre acolytes montaient chaque jour les marches qui mener au temple du jeu. Parmis toute cette masse humaine un seul homme restait immobile, le regard vif et carnassier, Max Dévide. L’homme était vêtu d’un costume taillé sur mesure dans une couleur noire, qui se fondait dans la masse. Il était devenu le patron du casino et le protégé de la famille Montana. Car a lui tout seul, il leurs fessaient gagner dix fois plus d’argent que leurs réseaux d’alcool frelatée. C’était un bon investissement, formé par les plus grand de la finance et les meilleurs de la gestion. Il avait été mis en place par Carmine qui avait vu en lui un homme puissant et sans reproche apparent .Se qui le propulsa comme l’une des plus grosse fortune de Vegas .Sa puissance le fessait côtoyer tout le gratin et dîner avec les hautes sphères, aux repas de bien vaillance, été monnaie courante pour lui. Cet homme d’une quarantaine d’années, père assidu et mari exemplaire, avait des beaux jours devant lui et encore plus pour la famille .Mais rien au monde était plus beau pour lui que de voir tout ces gens rempli de dollars rentrer pour tout dépenser au casino . Tout ce monde n’était pour lui que des pigeons venus perdre leurs moindres économies. Tout était calculé, La machine bien huilée, personne ne pouvait partir de l’Horus’ sans y laisser ses sous. Une fois, une baleine, comme on dit dans le milieu, avait réussis à rafler le gros lot .Cinquante millions de dollars. Dévide ne pouvant pas le laisser partir avec cette somme,
Il lui offrir une suite à l’hôtel du casino avec champagne et jeune fille de compagnie à volonté. Tout les frais étaient pris en compte par le casino. Une fois la baleine détendu, les filles l’emmenèrent jouer au Black jack .Il commença à jouer des petites mises de mille dollars. Mais fut vite rattrapé par la fièvre du jeu et grâce aux filles savant y faire pour pousser à la consommation, il perdu tout sa cagnotte. En deux jours il laissa cinq cent mille en plus , repartant avec le jet du casino , il serra la main de Dévide en le remerciant pour ce séjour gratuit.
C’était cela le pouvoir de l’Horus’ et surtout de Dévide ne jamais laisser un client sans l’avoir saigné à blanc et tout ça avec doigté et finesse.

Vendredi 16 juin- VEGAS –L’HORUS’
Aujourd’hui était le clou de trois mois de travail pour Max .Les championnats du monde de poker devaient se dérouler à l’Horus’. Et après une lutte effrénée contre le MGM l’un des plus gros casinos de la ville, il avait réussi à remporter l’organisation auprès de la fédération de poker. L’argent allait couler à flot, tout le monde voudrait jouer contre ces champions. Un coup de pub formidable pour l’Horus .Les hôtesses s’affairaient à accueillir les clients, tandis que les ingénieur en télésurveillance et autre système d’alarme était sur le qui vive. Le casino allait sûrement, brasser la plus grosse somme d’argent de l’année. Dévide se trouvait quand à lui dans la salle principale de surveillance prêt à bondir.
-Pardon Mr Dévide .On vous attend a l’entré du casino. Dit l’un des chefs de la surveillance.
-Qui est ce , Pierre ?
-Je ne sait pas patron il n’as pas voulu se présenter.
-Franck passe moi son image sur la vidéo S’il te plait.
-Camera quatre, patron. Lança l’agent chargé de la surveillance vidéo.
-Vous voulez que je l’identifie.
-Non c’est bon je vais aller le voir, je connais.
Max descendit les escaliers et se dirigea rapidement vers la porte
-Qu’est ce que tu fout la ?
-On a eu un problème il faut que tu vienne en vitesse.
-Ok j’arrive.

Lundi 19 juin –DECHARGE DE VEGAS-
Grayson fut appelé vers les midi et demi sur son téléphone .Aucune indication lui avait été donné, seulement le lieu où il devait aller : Décharge nord de Vegas .Le coup de fil avait été bref et lui avait commandé de se rendre seul sur les lieux. Il arriva devant la décharge vers une heure, salua le flic en faction devant le portail et sorti sa plaque pour s’identifié. Il était l’un de ces vieux flics usés au whisky et avec une mine qui fessait penser qu’il avait dormi dans sa voiture encore complètement ive. Il se gara à environ cinq cents mètres où se trouvaient le véhicule des pompes funèbres et une ambulance. Putain un maccabéen se dit il, dans sa vielle caboche endolorie encore pas les effluves de scotch.
Il pris sont arme de service dans le coffre de sa voiture et le rangea dans son holster sous le bras. Plus il avancer plus il voyait du monde entourant un drap blanc. Il vit tout de suite la silhouette imposante de Wolf. Se jeune blanc bec était la figure montante de la police de Las Vegas, et partagé le même service que Grayson : La criminelle.
-Grayson qu’est ce que tu fait la ? Un petit homme aux yeux mesquins et aux cheveux des garnis s’approcha du vieux flic.
-Nick Sparo. Comment va la famille ?
Le petit bonhomme lui raconta que son deuxième fils allait rentrer dans l’une des plus grande université de Las Vegas. Et que sa femme attendait un troisième enfant.
-Et toi vieux tout va bien ?
Grayson fit mine de ne pas l’entendre et se dirigea vers le drap. A peine arrivé jusqu’au petit groupe, qu’il entendit Wolf scander son nom.
-Putain qu’est ce que tu fou là ?on a pas besoin de toi ici.
Grayson ne se laissa pas désarçonner et regarda Wolf dans les yeux.
-Alors vieil Alcoolique, tu réponds?!
-On m’a appelé pour diriger cette enquête alors soit tu dégages où soit tu restes là et tu la fermes.
Wolf était devenu furieux, mais se tus aussitôt. Même si Wolf était protégé par son père,
Qui était le directeur de la police. Grayson connaissait quelqu’un d’influant à Vegas qui lui laissait garder son emploi malgré ses problèmes de boisson.
-Alors qui est ce ?
Le médecin légiste leva le drap et le visage de l’un des plus gros directeur de casino se dévoila.
-Max Dévide ! Putain sa risque de faire du bruit dans les semaines à venir.
C’est bon couvre le.
-Vous pouvez l’emmener messieurs. Lança le médecin légiste.
Les deux brancardiers recouvrirent le cadavre et le transporta dans l’ambulance.
-Je doit téléphoné dit Grayson .Je veux le rapport d’autopsie sur mon bureau au plus vite.
-Va te faire foutre Grayson .Tu n’est pas prioritaire sur cette affaire. Scanda Wolf
-Appel ton supérieur si tu veux pour l’instant c’est moi le plus gradé. Alors tu restes tranquille. Jim je te fais confiance ?
-Pas de problème Marc !je fait ça dès mon arrivée. Rétorqua sur un ton ironique le médecin légiste.
Grayson quitta la scène du crime, c’était pas le genre de flic a ramassait les cailloux pour trouver des indices, il laissait ça aux jeunes. Il rentra dans sa vieille Buick toute cabossée du à ses nombreux retours de bar. Et pensa, le plus urgent était de trouver un téléphone.

Mardi 20 Juin –MANOIR CARMINE –
Lorsque Carmine raccrocha le téléphone, son visage avait littéralement changer .Le coup de téléphone qui venait de recevoir était pour lui inenvisageable. Après avoir repris rapidement ses esprits il appela sa compagne Math. Math était plus que sa moitié, elle était à elle toute seule un personnage important dans la pègre. Elle était rentrée dans la famille par la grande porte, le jour où elle descendit l’un des plus influant parrain, qui avait mis un tueur aux traces de Carmine. Apprenant cela, Math n’écouta que son cœur et descendu les deux le même jour. Depuis elle avait fait ses preuves pour la famille et dirigé à elle seul tout un secteur de New York. Carmine lui pria d’aller voir Jack et de le mettre tout de suite au courant de la communication qu’il venait d’avoir au téléphone. Il demanda de prendre quatre de ses gardes avec elle au cas où. Math fut la première surpris de cette prise de sécurité, mais elle s’exécuta sur le champ sans rien demander de plus. Les quatre gardes prétorien de Carmine ressemblés à des bodybuilder et étaient armés chacun de colt à barilier : des Colt Anaconda une arme avec la quelles ils fessaient toujours mouche. Ils prirent le Chevrolet noir 4X4 et dépassèrent le portail du manoir .La bâtisse était situé à l’extérieur de la ville. Il fallut donc une demi heure pour arriver aux portes de la ville. Jack habitait au sommet de la tour de Starke ‘s entreprise à New York. Elle était un chef d’œuvre de construction moderne. Toutes les vitres en miroirs reflétés la lumière du soleil. Des grandes colonnes de type Romaines au niveau de l’entrée, donnaient au bullding un aspect antique et imposant. Le hall était quand a lui de toute beauté, une fontaine trônée au milieu sur un sol de marbre blanc. Des guichets attendaient d’orientés les visiteurs et de nombreuses ascenseurs quand à elles les montaient dans les étages.
Malgré cet aspect de propre, le centre opérationnel de l’entreprise trahissait de son allégeance au monde de la pègre pour un œil averti. Les gardes, qui malgré leurs costumes taillés sur mesure trahissant les holsters de leurs armes au niveau de la veste. Et les deux gars avec leurs chapeaux en feutre et leurs lunettes de soleil n’attendaient pas que l’heure passe. Math et ses gorilles s’approcha de ces hommes qui gardait l’ascenseur qui emmenait jusqu’aux appartements de Jack.
-Laisse moi passer je viens voir Jack.


Mardi 20 Juin –Bureau de Jack Daniels
Math fut accueilli par Jack les bras ouverts. Il lui proposa tout de suite de prendre un verre et de s’asseoir pour lui raconter son histoire. Son bureau était à l’effigie de son propriétaire : spacieux et provocateur .Des dizaines de carafes en cristal toute remplies des plus grand Whisky s’alignaient sur un bar en chêne massif. Un coin séjour était présent avec canapé blanc en cuir, une table basse ou était posée une boite de cigare cubain et pour finir Un écran géant allumait sur les derniers résultats du foot Européen. Tandis que le bureau avait été positionné de telle sorte qu’il est vu sur tous les écrans de contrôle ne laissant aucune chance aux intrus. Jack était devenu le PDG de Starke‘s Entreprise, cinq ans avant lors d’une affaire crapuleuse. L’ancien patron de l’entreprise était devenu petit à petit accros au jeu et à la drogue, se que fournissait Jack en grand quantité. Après plusieurs tentative pour s’en sortir et de nombreux crédits. Jack lui proposa d’effacer la dette en lui prenant ses part dans la société .Grâce à sa société dans le bâtiment Jack fit donc une Opa sur Starke’s Entreprise sans dépenser un centime. Se qui fit grand bruit dans le monde de la finance. Maintenant la famille Montana possédait la plus grosse entreprise en armement et recherche biologique et médical du pays. Posséder cette entreprise c’était comme tenir le parlement par les bourses. Financement obscur de certains partis politiques, pot de vin, vente d’arme illégal à l’étranger voila le quotidien de l’entreprise sous son aspect non officiel. Alors Math raconte moi dit jack en s’asseyant dans l’un de ses grand fauteuil de cuir noir, signer de ses initiales en lettre dorée. Il se servit un verre de whisky d’une de ses carafes, et alluma un gros cigare.
-Chivas 18ansd’age un régal !lui dit il.
Math lui raconta se que lui avait dit Carmine et après quelques secondes Jack regarda Math avec un large sourire qui laissa entrevoir entre ses dents, son cigare.
-Les affaires reprennent !cool !on va s’amuser!

CHAPITRE 1
Le soleil était au beau fixe sur le quartier japonais de Los angeles. Je fit un petit tour dans ces ruelles animées d’une multitude de marchands ambulant .L’ odeurs du sushi frais se mêlait, à celle des épices faisant un tapis multicolore sur le trottoir ou elles étaient vendues. Je m’avançai devant l’un de ces marchands, est lui demandai combien il vendait le petit bouddha couleur jade devant lui. Il m’en proposa cinq cents dollars.
-Tu te fou de moi c’est même pas du jade lui dis je.
-Deux cents ?
-Ok l’ancien. C’est bien parce que c’est toi.
Ces gens n’avaient déjà pas beaucoup d’argent, et la vente de leur produit était la seule rente pour pouvoir manger. Il ne fallait pas tirer sur la chandelle. Je continuais de divaguer dans ces ruelles où tout se vend en sachant où chercher et qui. J’aimais me promener dans ce quartier qui m’avait accueilli lors de mon départ du Japon. D’où j’avais été banni par le chef de la plus puissante famille de Yakusa. Bien que j’étais son bras droit, il me répugna pour insubordination. Mais surtout parce que je fréquentais sa fille Sakura. Je partis donc pour L.A, ou je fut engager par Jack lors d’un congrès pour Starke‘s Entreprise comme garde du corps. Mon implantation dans le milieu de la pègre Japonaise me fit vite rentrer dans la famille Montana. Et six ans plus tard je contrôlais celle-ci pour la famille .A la mort de mon maître assassinait, je retournai à Tokyo et jurai sur son lit de mort que je protégerais Sakura. Etant devenu le chef du clan à la mort de son père, elle n’avait pas besoin de moi,. Elle reforma l’escadron de la mort dont j’étais l’ancien chef et nous ordonna de venger l’affront. Deux mois après et de nombreuses morts, imputables à l’escadron, dans de nombreuses familles ennemis. Sakura invita les chefs des cinq familles chinoises qui avaient commandité le meurtre de son père. Ils ne revirent jamais leur chine natal, Sakura les exécuta un part un en leurs tranchant la tête. Après cette affaire, les cinq dragons se rangèrent à ses cotés et lui jura fidélité. Elle fut appelée à rejoindre les Montana, lors d’une transaction entre la famille et une bande de Yakusa, un an après. Midi allait approcher et je me dirigeais donc vers un petit restaurant situé au bord de la mer. Lorsque soudain, mon portable se mit à sonner. Je décrochai et entendu la voix de Jack à l’autre bout du combinée.
-Sam tu m’entends ? Me demanda t’il
-Oué que veux tu ?
- Je ne peux pas te parler au téléphone faut que tu viennes au plus vite chez moi.
- Putain ! Faut que je traverse tout le pays.
-Prend le jet de la compagnie il est en route pour L.A.
-Bon OK !
-Hé, Viens armé, vieux.
La conversation s’arrêta sur ses derniers mots de Jack. Et je me dis: Bon il faut que j’aille au supermarché. Je fit vite fait pour me restaurer, puis pris la direction de l’un de mes bons vieux magasins. Je me garai devant la devanture d’un prêteur sur gage dans les baffons de L.A. Le quartier était l’un des plus mal famés, nombreux voles, agressions est autres méfaits si produisaient tout les jours et le rendait impraticable à quelqu’un de non initié. Je rentrai dans la boutique crasseuse d’ou une lumière parvenait à filtrée à travers les vitres graisseuses, fessant apparaître des faisceaux de poussières à travers le magasin .La température était étouffante et une odeur de sale émanait de tout cet environnement. Je fus accueilli par un petit homme de type portoricain aux lunettes sales et aux carreaux cassés.
-Alors Sam encore parti pour faire du grabuge ? Me dit –il.
-Qu’est ce que tu veux Tonio. Il faut bien des fois se faire remarquer.
-La famille va bien ? Passe le bonjour a don Bill Bon de ma part.
-J’y manquerai pas .Bon qu’as tu à me proposé ?
-A viens voir !j’ai des nouveautés.
Nous nous dirigeâmes vers le fond du magasin et primes la direction de l’arrière boutique.
Il ouvrit la porte et la se fut sensationnelle pour un assassin comme moi. Sur des murs blanc d’une propreté qui contrastée avec l’avant du magasin et éclairé à l’aide de nombreux néons bleutés. Je vis Des dizaines d’armes accrochaient aux murs .Il y en avait pour tout les usages : lance rocket pour les attaques de fourgons blindés, des fusil de sniper avec silencieux pour tuer en toute discrétion, en passant par les armes de poing et autre fusil d’assaut réservé aux forces spéciales où bien à l’armée. Ne sachant pas trop pour quelle mission, Jack m’avait appelé je lançai mon dévolu sur un équipements standard. Mon choix se porta sur deux Desert Eagle .50 A.E., Un H&K PSG-1 comme fusil de sniper et deux MP5K-PDW dans leurs valises pour le transport. Pour ce qui était du lance rocket et autre engin exotique je trouverais sa sur place avec Bill. Je dis à Tonio que je lui laissai la monnaie et pris le chemin de ma voiture. A peine arrivais a celle-ci, que je remarquai quatre mecs entrain d’essayer de forcer ma portière. Putain ! Une Mercedes SLK AMG, rien que les gentes, on en a pour 50000 dollars. Je m’approchai du mec qui fessait le guet puis lui tapai sur l’épaule.
-On joue, si ton collègue réussis à la volée dans les deux minutes qui suivent, tu es en vie et vous partez avec ! Alors, prie le bon dieu.
Mon desert Eagle tout frais acheté se mit entre ses deux omoplates. Et malgré tous les essais infructueux que le gus fit il ne put ouvrir la voiture avant les deux minutes.
-Dommage !
Une détonation suivie d’un bruit de douille chaude tombante sur le trottoir se fit entendre .Le mec tomba à mes pieds et une flaque de sang commença à s’épandre de son thorax. Les trois autres sursautèrent. Regardant vers la provenance du coup de feu, il virent leurs sentinelle à mes pieds et refroidie.
-Pardonner moi Messieurs pour la gêne occasionné par le bruit. Mais vous êtes entrain de braquer ma voiture.
-T’es qui connard ?qu’es que ta fait à Francisco ?
-Du calme !je vais répondre : Un ! Pour la loque qui est à mes pieds et que vous appelez si tendrement Francisco, il vient de faire la connaissance avec une Balle de calibre 50 A.E. Pour la deuxième question mon nom est Urai et trois la voiture est à moi.
Les trois mecs laissèrent apparaître un visage livide, on avait l’impression qu’on leurs avaient signé leur avis de mort. Rien que le fait de leur avoir dit mon nom les glacèrent sur place.
- Pardon, Don Urai on ne voulait pas, on ne savait pas que c’était votre ….. !!! Il nu pas le temps de finir sa phrase que la détente de mon arme c’était mis à me chatouiller l’index. Une flamme aveuglante sortit de mon automatique et le mec en face de moi se transforma en un amas de chair inanimé.
-C’est sur, connard, que tu l’aurais pas braqués si tu avais su que c’était la mienne.
Je regardai les deux autres, l’un deux c’était mis à prier. Je pointai mon arme sur eux et les regardai-je se vider tout doucement de leur vie. Comment on dit dans le milieu pas de témoin, les deux autres balles furent pour eux.
-Tonio !
-Oui Senior ?
- Bonnes armes !
-Merci Sam
-Tu me nettoies ça s’il te plaît ?
-Pas de problème, je dois avoir deux bidons d’acide au fond de la cour.
-Merci Tonio, à plus.
Je montai dans mon SLK, En donnant quelques dollars à Tonio pour le nettoyage. Et partis en direction de l’aéroport

Le jet de Starke’s entreprise avait déjà atterri à Los Angeles, quand je pointai mon nez. Il était garé dans l’un des hangars nord de l’aéroport Des mécaniciens s’affairaient autour pour le préparer au retour, avec moi à son bord. Il était de couleur noir avec sur les flancs, le nom de l’entreprise en lettres stylisées de couleur or. Il était équipé grand luxe : Des fauteuils en cuir beige autour d’un table basse où beaucoup de réunion d’entreprise avait du si dérouler, des boiseries en ronce de noyer, un écran de télévision géant et bien sur le bar. J’eu un peu peur à l’ouverture de celui-ci, sachant le penchant de Jack pour le whisky. Mais ce vieux jack s’avait en mettre plein la vue, et je vis deux bouteilles de vodka russe bien fraîche sur le rayonnage du frigo avec un mot dessus « à la tienne Sam ». Je m’installai avec un verre dans un de ces grands fauteuils confortables et commençai à feuilleter un des nombreux magazine posaient sur la table basse. Le commandant de bord pointa sa tête dans l’encadrement de la porte et me dit.
-ça va Mr Urai ?
-Bien mon commandant mieux serai trop. Lui répondis je.
-On ne va pas tarder à partir Mr Urai.
- Ok mon commandant.
L’avion prit son envol dans le quart d’heure qui suivit. Le ciel était dégagé et la visibilité bonne, je vis L.A se rétrécir petit à petit par le hublot, lors de notre monté en altitude et nous fûmes vite au dessus des nuages. Nous arrivâmes à New York vers les vingt heure à l’aéroport international John F Kennedy .L’aéroport était bondé de monde, des touristes de tout nationalité se bousculaient aux niveaux des portillons pour passer en douane. Grâce aux valises diplomatiques prêtait par Franck Castle, le passage en douane se fit le plus rapidement possible et les armes rangées à l’intérieur passèrent inaperçu aux yeux des douaniers. J’arrivai dans le hall d’entrer, lorsque je vis Logan qui était entrain d’attendre. Hé Sammy, vieux je suis là ! Hurla t il dans tout le hall.
A ce vieux Logan toujours aussi discret, c’était l’un des plus grand producteur d’Hollywood. Il avait fait fortune dans sa jeunesse, dans les films érotiques en lançant sa boite de production Arme X. Il était arrivé de sa banlieue du Texas pour L.A avec l’intention ferme de gagner des sous dans le milieu d’Hollywood. Il en compris vite les rouages et commença à fréquenter la pègre locale pour trouver des filles faciles et dociles pour ses films. Après mon arrivais à L.A, j’eu affaire à lui, lors d’un démantèlement de réseau de prostituées. La famille Montana commençait à prendre le pouvoir à Los Angeles et des filles esclaves de la prostitution ne fessaient pas parti de leur ligne de conduite. Nous vîmes tout de suite le potentiel de la société de Logan. La famille réhabilita l’image d’Arme X est en fit l’une des plus grande boite de production de tout Hollywood. Logan fut maintenu à sa tête, il n’y avait pas meilleur requin dans ce milieu de paillette et de strasse. Il fit fructifié l’argent de la famille en deux mois et en bonus il fournissait en drogue la plus par des acteurs et actrices. Comme à son accoutumé il était habillé d’un costume d’un blanc éclatant, une paire de chaussure en cuir dernier cri d’un marron brillant et un chapeau de cow-boy qui lui couvrait la moitié du visage. Son chapeau le suivait partout et contrasté toujours avec ses tenu coûtant une fortune. Je m’avançai vers lui et fus écrasé par son étreinte.
-Alors vieille branche comment va? Ta vu se putain de temps, Jack ma fait quitter Hollywood et son soleil pour New York et sa putain de flotte. Me dit-il sans me laisser le temps de lui répondre.
- Viens, ma voiture attend, j’ai quelqu’un à te présenter.
Je n’eus pas le temps de lui dire pour la flaque d’eau qu’il mit les deux pieds de dans.
-Putain de bled à la con, j’ai le costard pourri maintenant. Lança Logan dans un élan de colère. J’avais beau essayé de ne pas rigoler mais un léger rictus se dessina sur ma figure. Nous entrâmes dans sa limousine blanche et je vis un jeune homme en costard cravate noir, chemise blanche, mocassins italien fermés et attaché case sur les genoux, propre sur lui en tout point. Il ressemblait à l’un de ses mania de la finance, ces jeunes freluqués, qui sort d’une grande université du pays et se croit irremplaçable. Mais malgré tout il avait quelque chose dans son regard qui m’interpella. Un regard d’un jeune loup qui en veut.
-Sam je te présente Pat Black, mais pour nous c’est Parraine Noir .Me dit Logan.
-Bonjour à toi Parraine, j’ai oublié de te demander. Que fais tu la Logan ?
-Jack ma demandait de venir et d’emmener mon jeune protéger il ma dit que c’était pour de la finance. Se jeune nous à fait gagné des millions lors de l’affaire Ogomes.
-A ok je vois. Lui rétorquai-je
La limousine continuait son chemin et circulée dans les rues de la grosse pomme surchargées de centaines de taxi jaunes. La pluie battait la mesure sur les vitres, le ciel d’une couleur gris perle, donnait une couleur monochrome aux nombreux grattes ciels, reflétant dans leurs vitres le bitume noire des boulevards. Nous arrivâmes devant la Starke’s Entreprise Tower trente minutes après notre départ de l‘aéroport. Cela n’était pas la première fois que je venais ici mais à chaque fois que je voyais se bâtiment, je sentais la toute la puissance de Jack. La limousine descendit au sous sol pour se garait. Nous en sortîmes tous ensemble puis s’avancèrent vers l’ascenseur. Comme à son accoutumé le bâtiment était une forteresse imprenable. Des gorilles armés de M16, gardaient les voitures qui devaient appartenir à Jack : Une Lamborghini, une Ferrari 250 GTO, une AC Cobra et un proto sortie tout droit des laboratoire de Starke. Trois autre gus était entrain de monter la garde devant les ascenseurs, tandis qu’une bonne dizaine de jeunes Outsiders prés à monter en grade sur un coup d’éclat, attendaient la guerre dans une salle de repos. Ils nous regardèrent tous avancer, voir deux Dons dans la même journée était pour eux comme un miracle. Des chuchotements se firent entendre lors du passage de Parraine Noire. Ils se demandaient tous qui était se jeune à peine plus âgée que, et que fessait il avec nous. Le problème était que même moi je ne pouvais pas le dire. Les gardes au niveau de l’ascenseur s’écartèrent en nous saluant.
-Don Daniels vous attend Messieurs. Nous dit le garde.
-Merci vieux. Lui dit Logan tout en lui mettant un billet de cent dollars dans la poche de son veston.
L’ascenseur nous monta au dernier étage dans les appartements de Jack.

Après une monté qui nous remontâmes l’estomac, nous atterrîmes dans les quartiers de Jack. Le garde devant la porte nous ouvrîmes la porte et nous annonça. Jack nous attendais assis dans son gros fauteuil les pieds sur son bureau.
-Mes amis, comment allez vous ? Et toi tu doit êtres parraine noire ? Le ton de Jack était joyeux, il avait un grand sourire aux lèvres et ses yeux d’un bleu perçant brillaient de mille feux.
-Faite place. Quelqu’un a soif ? Nous dit-il en en désignant le canapé et les fauteuils de cuir blanc. Nous nous logeâmes tous dans le canapé puis après avoir pris un verre et allumés les Havane proposé par Jack il commença sur un ton devenu plus solennelle.
-Nous avons un grand problème, je vous ai convoqués aujourd’hui pour vous faire par des décision qui on été prise à la hâte pour palier à l’urgence. Vous connaissez tous notre casino à Las Vegas et les nombreux bénéfices qu’il procure à la famille. Le problème est que le patron de celui-ci Dévide est mort assassiné dans la nuit du dix huit au dix neuf. Il a été retrouvé dans une décharge de Vegas par la criminelle, roué de coup et mort par strangulation. Voici le rapport du médecin légiste, tien Sam.
Après mette remis de cette nouvelle, je consultai le rapport d’autopsie que jack m’avait tendu. C’était hallucinent, fracture de tout les doigts, brûlure au second degré aux niveaux des jambes et nombreuses ecchymoses y étaient énoncées. Sans être expert, j’en conclus qu’il avait été torturé avant de mourir mais pourquoi ? Comment un mania dans le monde des casinos avait pu finir ainsi. Et qui avait pu assassiné Max Dévide un protégé de la famille. La voie de Jack me sortit de ma réflexion.
-Sam ! Comme je viens de le dire tu iras la bas accompagné de Parraine Noire, il reprendra la direction de l’Horus’ sous ta protection. Tout en gardant un œil tu enquêtera sur la mort de Max. Tu prendras attache avec l’homme qui enquête là bas. Fait appel à Sakura si ta besoin. Logan quand à toi tu prévient les autres on aura besoin d’eux.
Les ordres de Jack était clairs escortai le jeunot et voir pourquoi Dévide était mort et tout ça dans la plus grande ville du vice « Vice city ».

Chapitre N°2

Las Vegas, la ville lumière, la ville qui ne dort jamais, ville des milles et un pêchés se dessinait petit à petit dans le hublot. « On arrive, attachés vos ceintures Messieurs. » Nous dit le commandant de bord à travers le haut parleur. Le voyage avait été calme et silencieux, Parraine m’avait expliqué qu’il était l’un des As de la finance d’ Arme X production et qu’il avait fait remporter des millions de dollars à la famille. Mais était il aussi bon pour gérer le casino, ça faudrait attendre pour voir. Nous atterrîmes cinq minutes après l’annonce et le jet s’immobilisa sur la piste du VEGAS McCarran. La porte s’ouvrit et nous fûmes accueilli par Franck Castle qui nous attendait avec deux voitures à coté de lui. Il nous gratifia d’un « bienvenu à Las Vegas » d’un geste théâtral.
-Que fait un diplomate Colombien à Las Vegas ? Lui demandai-je.
-Je suis la en tant qu’avocat pour l’ Horus’casino. Me répondit-il avec un léger sourire.
-Je vois donc que le casino n’a plus à s’en faire.
En plus d’êtres diplomates, il était aussi notre plus grand avocat. Expert dans le désordre juridique de notre pays, surfant sur les lois et usant de tous les stratagèmes légaux et illégaux. Il avait résolu plusieurs grandes affaires de justice et de nombreux conflits mafieux. Il était l’un de ces avocats affluant, des qu’on citait son nom dans une affaire la défense fuyait, les témoins disparaissaient ou étaient frappés d’un soudain mutisme. Des qu’il prenait une affaire c’était automatiquement gagné rien ne lui résistait. Il s’était retrouvé en Colombie, après sa fuite pour un problème de trafic d’influence et de gros sous, concernant de nombreux juges et élus. Echappant ainsi à l’extradition, il se pris d’amitié avec la politique en place et après plusieurs transaction entre la Colombie et la famille, dans les narcotiques et quelques pots de vins, il devint un des diplomates de ce pays. Il retourna au USA avec l immunité et fut réhabilitait à l’ordre du barreau.
-Alors c’est lui Parraine, Carmine m’en a parlé un bon gars, plein de ressources. Nous dit Franck en regardant Parraine noire qui descendait de l’avion. Il le regarda, attentivement et le serra dans ses bras en signe de bienvenue.
-Bon allons à l’hôtel, vous avez hâte de vous reposez je pense. Mettez vos valises dans la première voiture et montez dans la deuxième. Ordonna t’il.
Les deux voitures étaient des Hummer H2 noir, jantes alu, part buffle noir brillant et des néons verts sous le châssis qui lui donnait une allure de vaisseau spatiale. Un véhicule qui à lui tout seul résumé Las Vegas : Tout dans le démesuré, 4m82 de long pour 1m97 de large un monstre. Les quelques valises trouvèrent facilement de la place dans ce coffre béant. Et nous prîmes la route à l’intérieur de ces palaces roulant. Malgré tout, nous ne fessions pas si Ovni en remontant « The Strip » l’avenu des casinos. Des limousines de toutes les couleurs défilaient devant les halls d’entrés des casinos, déversant un flot de personnages complètement illuminés. Les rues étaient toutes éclairées et rouler sans les phares même la nuit ne serait pas un problème si cela n’était pas interdit. Les casinos quand à eux, rivalisaient de délire architectural, le New York New York avec tout au tour ses montagnes russes, le Bellagio avec son spectacle de jets d’eaux pouvant atteindre soixante quinze mètres de haut et l’Excalibur avec son décor médiévale étaient les voisin de l’Horus’casino. Mais celui-ci ne fessait pas grise mine en face d’eux. Sa pyramide s’élevait dans les airs et un laser en orné le sommet. Ses 4476 chambres repartis sur les trente étages de la pyramide et les vingt deux étages des deux tours annexes le fessaient apparaître en troisièmes place des plus grands hôtels du monde. Son métro aérien reliant l’Excalibur à sa droite et le Mandalay-Bay à sa gauche emportait des milliers de personnes, chaque jour dépenser leurs argents. Les Hummer se garèrent devant le casino, une hôtesse vint nous ouvrir la porte et nous escorter jusqu’au hall.
-S’y vous voulez bien me suivre messieurs ? Nous dit elle d’un ton courtois et poli.
Nous avançâmes dans le hall, montèrent les escaliers en marbre blanc et arrivâmes dans la salle des machines à sous. La moquette rouge siglée du nom du casino en lettre d’or recouvrait tout le sol, des statues de dieux égyptiens soutenaient dans leurs bras le balcon fessant le tour de la salle. Une fontaine immense en pierres anciennes représentant la barque d’Horus fessait jaillir de l’eau d’un bleu turquoise dans le bassin aux crocodiles. « Lancez un jeton et la chance sera peut êtres avec vous ! » était écrit sur un panneau en cuivre. Vu le nombre de jetons dans le bassin, c’était plutôt le casino qui ramassait le jackpot à chaque nettoyage. Les machines à sous étaient alignées et brillaient de tout leurs chromes, leurs images réfléchissaient dans les miroirs accrochaient au mur, les fessant paraître plus nombreuses qu’elles étaient. Le tintement des pièces qui tombe se fessait entendre de tous les côtés. Il n’avait aucune fenêtres, aucune pendules, il n’y avait aucun moyen de savoir quelle heure il était. Tout était fait pour que le joueur ne voie jamais le temps filait pendant qu’il jouait. « Vos suites vous attendent, si vous voulez me suivre ? » nous dit l’hôtesse qui nous guidait dans cet enfer du jeu, jusqu’à nos suites.
******
Cela fessait déjà une semaine que j’étais à Las Vegas. Parraine avait pris ses fonctions rapidement, on avait l’impression qu’il avait fait ça toute sa vie. Francky c’était occupé de tous les papiers et des transferts de pouvoir pour le casino. Et maintenant que Parraine était sous haute surveillance et qu’il n’avait plus besoin de gardes, je commençai à voguer à mes priorités première : pourquoi ?
La priorité était de prendre contact avec l’indic de Carmine celui qui l’avait mis au courant et grâce à qui on avait pu réagir tout de suite. Je téléphonai donc au numéro que Jack m’avait donné avant de partir.
-Grayson à l’appareil à qui ai-je l’honneur ?
-C’est Sam Urai, nous avons un ami en commun.
-Pas par téléphone je vous attends dans une demi heure au Sun Bar.
-Ok je serai la, comment je vous reconnaîtrais ?
-Vous en faite pas moi je vous reconnaîtrais…..
Je raccrochai le téléphone, sa voix m’avait parut usée par le temps, le souffle était court comme si les poumons étaient encrassés d’avoir trop fumés et ne pouvait plus respirer à cent pour cent. Je demandai au mec de la sécurité ou se trouvé le Sun Bar. Il me regarda surpris et me dit.
-Vous êtes sur Don ? Ce n’est pas le top de Vegas.
-Ne t’en fait pas, je veux juste savoir. Lui répondis–je.
-Derrière le Bellagio monsieur.
-Merci.
J’arrivai dans les trente minutes qui suivie, le bar était un bar miteux. Le genre de bar fréquentait par toute la racaille de la ville. Mais aujourd’hui il semblait vide, ou était il toujours vide. Ce bar aurait été tout à fait à sa place à new York mais là, il jurait avec le luxe de la ville. Des photos de baseball représentant l’équipe local les Las Vegas 51s étaient accrochées aux mur, une cible de fléchette était suspendu au fond du barre à cotés du flipper, tandis que le comptoir était tout en vieux bois verni. Les quelques tabourets qui étaient mis à disposition des clients étaient complètement défoncés. La lumière était tamisée, les lampes des quelques tables étaient éteintes laissant leurs gros abajours d’une couleur vert foncée accueillirent les gens. Il ne me fallu pas trop de temps pour repairé Grayson. Il ressemblait à ce que j’avais pensé. Il était vêtu d’un pantalon de toile de couleur beige, une chemise blanche surmontée d’une paire de bretelles bleue et un vieux pardessus long était accroché derrière sa chaise. Son visage était rougi par l’alcool et sa barbe naissante d’une couleur poivre lui donnait un aspect négligé. A la vus des quelques verres de whisky qui était devant lui, je conclu qu’il était au bar lorsque je l’avait appelé. Il tourna la tête vers moi et me fît signe de la tête.
-Bonjour mon nom est Sam Urai. Lui dit je.
-Je sais qui vous êtes. Me répondit il avec un sourire.
Il me demanda si je voulais prendre un verre. Je déclinai l’invitation et lui demandai de rentrer dans le vif du sujet. Il me regarda et me dit : « Carmine m’avait prévenu que tu était un mec peut patient. Assis toi et boit. ». Il me commanda une vodka et commença à m’expliquer la scène du crime, du moins où on l’avais retrouver. Il m’expliqua que la décharge où l’on avait trouvé son corps était sur le secteur de la famille Barzotty, mais que ce n’était pas leur genre. De plus il n’avait aucun rapport avec les jeux de Vegas, ils étaient plus dans la drogue. Il me raconta aussi que dans ses poches on avait rien retrouver ni argent, ni papier. Heureusement qu’il était connu sinon il serai toujours à la morgue dans les non identifiés. Je lui demandai si il avait une piste déjà et lui tendais la photo du mec qui était venu au casino et qui avait vus Max pour la dernière fois.
-Ce mec s’est un petit caïd de Vegas, il tient le Snooker une boite de nuit. Il trafic dans tout se qui est mauvais payeur et racket. Me dit il en me tendant la photo.
-Merci bien, sinon comment son les flics sur cette affaire ? Lui demandai je.
-L’enquête ma était donnée t’en fait pas, mais fait quand même gaffe à un dénommé Wolf.
Il veut à tout pris fourré son nez la dedans, il vise la gloire et la reconnaissance ce connard.
Sur ses derniers mots, je quittai le bar et repris le chemin de l’Horus.
Arrivée au casino, je fus interpellé par se bon vieux Jack qui était dans l’entrée, Costard Armani et chaussures en crocodile plus voyant tu meurt.
-Hé Sam comment va tu viens il y a de la femme ? Me glissa t il d’un ton joyeux.
-Pas maintenant il faut que je me change et m’équipe je vais au Snooker. Lui dit je en passant vite fait devant lui.
-De l’action j’arrive.
-Si tu veux, rendez vous dans une demi heure.
Je montai dans ma suite et pris une douche vite fait, puis m’habillai : chemise blanche hugo boss, un pantalon de ville noir et une veste de cuir Redskins pour cachait mes équipements.
Mes deux désert Eagles, armaient prés à jouer de la musique. Je descendis au hall d’entrée et retrouvai Jack qui avait dans le regard une excitation d’enfant.
-On prend ma voiture, ça fait mieux devant les filles. Me dit-il.
Nous rentrâmes dans le garage et prîmes la Lamborghini Murcielago à Jack. C’était sur, avec une voiture comme cela on ne passait pas inaperçu. Elle était de couleur verte avec gente en alu noir satinés et vitre teintées. Tout en roulant je lui demandai se qu’il fessait ici. Il me dit qu’il en avait marre de rester dans son gratte ciel à rien faire. Il voulait un peu d’action. A ce vieux Jack, malgré les millions qu’il brassait il n’était jamais le dernier à mettre l’ambiance Nous arrivâmes devant le Snooker, Jack et moi descendîmes de la voiture et nous approchâmes du videur. C’était l’une des ces boites branchées où il fallait presque se trimballer avec son CV et un relevé de compte bancaire. Une boite à jeunes chics et bourrés de pognon. L’enseigne lumineuse avec ses boules de billards illuminait toute la rue. La file de jeunes prétendant a l’entrée se terminait sur le trottoir d’en face.
-Pas mal la boite j’y reviendrai peut êtres pendant mon séjour. Me dit Jack.
Nous remontâmes la file et nous plantâmes devant le videur.
-Salut nous voulons parler à ton patron.
-Vous êtes qui ? Mon patron ne reçoit pas. Et de plus ici on fait la queue comme tout le monde. Nous lançâmes le gorille.
Il n’eu pas le temps de dire autre chose que Jack lui pointa entre les deux omoplates son vieux Colt à barillet. Plus patient que lui, tu meurs !
-Je repose ma question, emmène nous à ton boss. Et de plus je ne suis pas gay alors je ne fais pas la queue moi. Merci. Lui chuchota-t-il à l’oreille.
-Ok, mais me tué pas.
Nous passâmes la porte du Snooker, et longeâmes le couloir qui débouchait sur la piste. L’ambiance était chaude, les néons noirs fessaient ressortir le blanc des chemises et des maillots moulant des filles qui se trémoussaient sur la piste. Jack me regarda et tout en pointant le videur me dit : « Je repart avec la boite ça me plait ici. » Il cligna de l’œil au videur et lui lança « Dit bonjour à ton nouveau patron ». Je me mis à sourire. Nous traversâmes la piste de danse vite fait et personne ne remarqua le vigile qui était entrain de se faire braquer. Il nous ouvrit la porte et nous fûmes directement dans le bureau du patron. Il fût surpris de voir son videur rentrait avec un colt dans le dos et deux gus derrière lui.
-Salut on voulait te parler mais ton gorille n’a pas voulu l’entendre comme ça. Lui dit-je en m’avançant devant son bureau.
-N’y pense même pas vieux ! Lui lança Jack en mettant la main sur le tiroir du bureau.
-Que me voulez vous ?
-Juste parler ne t’inquiète pas. Dit à ton vigile de se barrer et que personne nous dérange. Lui dit-je.
Il ordonna à son garde de nous laisser. Une fois, le garde sorti je le regardai dans les yeux et lui demandai.
-Max Dévide ça te dit quelque chose.
-Oui s’est le gérant de l’Horus’. Je ne le connais pas ce type moi.
-Arrête de nous prendre pour des cons allé crache connard. Lui dit Jack en pointant son colt sous son nez.
-Je devais juste faire chanter quelqu’un pour lui. Nous balança t-il sur un ton de peur.
-Qui ?
- Scaneur, le grand patron de la commission des jeux, il avait été photographié dans sa suite avec une pute. Max m’avait demandé de lui donner les photos et de lui dire de téléphoner à un numéro privé.
-Et que viens tu faire dans la négociation.
-Il ne voulait pas que Scaneur sache que ça venait de lui. C’est pour ça qu’il m’a demandé, je suis quand même un spécialiste pour ça.
-Pourquoi il voulait le faire chanter ?
-Pour des tunes, je ne sais pas moi.
-T’es vraiment sur connard ?
-Non ! Merde, me tuez pas.
-Que s’est il passé le soir ou vous êtes venu le chercher au casino ?
-Je lui ai dit qu’il avait refusé les photos, et qu’il s’en fouté et qu’il n’avait pas peur de lui. Il m’a dit de l’emmenait devant la maison de Scanneur et de le laisser là.
-C’est tout ?
-Non, j’ai vus une voiture avec des mecs louches dedans rentrer. Comme ça semblait bizzare, j’ai relevé la plaque.
-Donne nous la on ferra avec, sinon si tu te rappelle encore de quelque chose fait nous signe.
-OK
-Hé sinon ta boite elle est à moi, mon gérant arrivera demain toi tu nettoie et tu te barre. Lui lança Jack avec un sourire aux lèvres.
Nous rentrâmes au casino où je contactai Grayson et lui donnai le numéro minéralogique de la voiture il me dit qu’il me donnera cela demain matin aux premières heures. Bon vieux, on va jouer un peut ? Me dit Jack. Après cette longue journée on méritât bien cela. Je lui emboîtai le pas jusqu’aux tables de black jack où nous y jouâmes toute la nuit.
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Le lendemain matin, le téléphone me réveilla. J’eu un temps de réaction ! Tu m’étonne avec la cuite que l’on c’était mis avec Jack, mal de tête et porte monnaie vide tu parle. Heureusement que l’on allait retrouver nos sous au prochain relevé de caisse du casino.
-Oui allo qui est ce ? dit je d’un air embrumé au maître d’hôtel.
-C’est Mr grayson je vous le passe Mr ? Me répondit il.
-OK !
La voie roque de Grayson se fit entendre à l’autre bout tu téléphone.
-Mr Urai ?
-Appeler moi Sam. Lui répondis je.
- Oui j’ai quelque chose d’important pour votre plaque d’immatriculation. C’est la voiture banalisée de la criminelle c’est bien se que je penser hier.
-Par qui était elle conduite hier ? Lui demandai je.
-Par Wolf et Nick Sparo, le problème c’est que se n’est pas leur secteur.

CHAPITRE N°3


-OK j’arrive.
Carmine raccrocha sont téléphone lorsque Math entra dans son bureau. C’était un bureau dans le pur style empereur un parquet de bois exotique sombre où étaient posées des bibliothèques en chêne massif bondées de livres de loi et de gestion. Un bureau du même style était disposé au milieu de la pièce avec un fauteuil tourné dos à la porte fenêtres à petits carreaux. Une grande cheminée en pierre blanche finissait le décor sobre mais riche. Les rideaux sombres étaient fermés et laissés passer des rayons de lumière qui tamisés l’ambiance.
-Qu’est ce qui se passe Carmine tu a l’air contrarié ? Lui dit Math.
-C’était Parraine noire il à des problèmes avec la commission des jeux ils viennent de lui rejeter sa demande de licence. Lui répondit il.
-Mais il a déjà pris ses fonctions, non ?
-Oui juste pendant l’examen de son dossier. Le problème c’est qu’ils viennent de découvrir des erreurs dans les livres de compte. Il faut qu’on parte là bas sinon on risque de perdre le casino.
-Bon je prépare mes affaires alors.

Carmine et Math arrivèrent à Las Végas en début de soirée. Carmine demanda dans la foulée de se réunir dans la salle de conférence pour parler tout de suite du problème.
Lorsque j’arrivai dans la salle Jack était déjà la en grande conversation avec Carmine.
-Salut Sam me lança Carmine. On était entrain de parler du foot Européen.
-Tu sais moi et le Foot ça fait deux. Lui répondis-je.
-C’est sur je l’ai déjà vu jouer, c’est horrible. Rétorqua Jack avec un large sourire.
-Qu’est tu veux on peu pas êtres bon partout.
-Arrêtez vos gamineries demanda Carmine
Au même moment Francky accompagnait de Math et Parraine entrèrent dans la salle. Tout le monde se salua et Carmine pris la parole. Il nous proposa de s’asseoir, des digestifs et des toasts avait été mis sur la table.
-Bon comme tout le monde le sait, on a eu un petit problème sur la licence de Parraine. La commission vient de découvrir un problème au niveau des comptes.
-De combien est le problème ? demanda Jack.
Cinq millions de dollars. Lui répondit Francky.
-Comment une telle somme a pu disparaître. Demandai je.
-Je sais pas les cinq millions non jamais étaient déclarés. C’était encore Max qui s’occupait de tout. Me répondit Parraine.
Jack pris la parole :
-Bon, voilà les priorités j’ai demandé à Francky de faire un recourt pour ta licence, nous avons un rendez vous devant la commission dans quinze jours. Sam tu recherche où son passé ces cinq millions. Quand à moi je vais prendre la gérance pour le moment Carmine tu es de la partie.
-Pas de problème ! Lui répondit il.
Des la fin de la réunion je pris le chemin de la salle des comptes. Après quelques minutes d’explication par Parraine Noire nous constations que les cinq millions n’avait pas été déclaré au niveau de la commission mais qu’ils figuraient bien sur nos registres au niveau du casino.
Je demandai à Parraine d’appelai notre chef comptable pour une explication. A l’arrivée du comptable nous fûmes renseignés. Ces comptes remontaient avant l’arrivée de Parraine au casino et avant l’arrivée du comptable qui était devant nous. Il nous expliqua qu’il avait était mis à ce poste deux jours après cette erreur car celui qu’il remplacé, Marc Banner était tombé malade. Je demandai à Parraine de consulté le dossier de Banner et remerciai le comptable.
-Putain c’est le bordel !
-Qu’est ce qui se passe Sam ? Me demanda Parraine.
-Ce connard, Banner à reçu un versement de un million de dollars d’un compte off short et il est parti en maladie dans la foulé. Çà sent l’embrouille à plein nez.
-Putain tu as piraté son compte c’est illégal. Aboya Parraine.
-T’inquiète pas j’ai l’habitude, bon maintenant il faut savoir où il se trouve.
-Essaye de voir si il s’est servi de sa carte.
-Qu’est que tu crois que je suis en train de faire, putain il est à Miami à l’hôtel. On va aller le retrouver. Bon, mon petit Parraine prépare ton Short et tes lunettes de soleil, on va chez Sakura et appel Bob Mesrine on en aura besoin.
Nous arrivâmes à Miami le lendemain matin, Sakura nous attendait toute radieuse. Elle portait un ensemble classe de chez DIOR, ses lunettes de vus étaient remontaient sur ses cheveux bruns coiffés en queue de cheval qui laissaient apparaître son visage rond. Tout l’ensemble lui donnait un air de patronne ce qu’elle était en faite. Elle tenait l’une des plus grandes galeries d’art asiatique et trafiquait dans tout le reste. Le seul petit hic qui pouvait choquer au tableau de sa tenu vestimentaire était le petit Colt qui était accroché après sa cuisse droite.
-Alors comment allez vous ? Bob ma appelait il passera demain, il a deux trois truc à faire avant.
-Bien et toi ? Lui demandai je.
-Tu le sais bien tu ma eu hier au téléphone. Répondit elle avec un large sourire.
-Je te présente Parraine Noire le protégé de Logan.
-Bonjour à toi et bienvenu chez moi.
-Merci a vous. Lui répondit Parraine
Après ces présentations nous prîmes la direction de la galerie d’art qui servait aussi de bureau. Elle m’expliqua qu’elle avait localisée Banner et qu’il était descendu au Hilton. Nous arrivâmes vers la galerie qui se situait sur le bord de la mer. Les palmiers et le soleil était au rendez vous et les filles aussi se qui me valu les courroux de Sakura. Nous entrâmes dans la galerie d’art, nous fûmes accueilli par une statue gigantesque représentant un dragon chinois qui était disposée en plein centre de la salle principale, des armures de samurai prête au combat étaient alignées sur le mur du fond et des vases en porcelaine de chine finissaient de donner à ce décor un air de musée. Sakura nous fîmes passait dans son bureau, une petite fontaine circulaire de style japonaise se trouvait en son centre, des estampes asiatique étaient accrochées aux murs et une armure d’un noir brillant situait dans un coin inspirait le respect. Saku nous les présenta comme ses plus belles pièces de sa collection personnelle.
-Vous voulez boire quelque chose ? Sam comme d’hab ? Vodka et toi Parraine ?
-Merci bien Mademoiselle Sakura je prendrai un Gin si vous avez.
-Tu peux me tutoyer parraine tu fais partir de la famille.
-Si tu veux te faire découper façon chinoise continu de la vouvoyer. Lançai je en rigolant.
-Bon restons en là, asseyez vous. Comme je vous les dit mes hommes on retrouvé Banner au Hilton. Le problème est qu’il ne sort pas de sa suite.
-Il ne mange pas ce con ? Demandai je d’un ton ironique.
-Il se fait tout livrer par le service d’étage, mais tant fait pas tout est planifié il nous manque que Bob.
Je pouvais faire confiance à Saku je savait que son plan était étudié et que tout les scénarios possibles avaient été envisagés. Après une petite heure de discussion sur le déroulement des événements de Las Vegas, Parraine Noire pris congé et nous laissa tout les deux Sakura et moi.

Le lendemain matin fut dure, je me retournai dans le lit, Sakura était la à coté de moi, endormie. Je me levai sans faire de bruit et descendis au restaurant pour prendre mon petit déjeuner. Parraine me fit signe, il était déjà la entrain de prendre son petit déj.
-Alors pas trop dure la nuit ? Me demanda t il avec un sourire au coin.
-Ben !!!
au même moment, Bob Mesrine apparut dans le hall, pour me sauver de cette mauvaise question.
-Bob on est ici !
Bob nous salua de la main et nous rejoignit. Il était encore affublé de l’un ses chapeaux horrible, une chemise Boss blanche dépassait de son jeans et pour finir le tout il avait chaussé une paire de Nike air beige. Cet accoutrement lui donnait l’air d’un homme de la rue plus que l’homme puissant qu’il était. Bob s’avança vers nous et pris la parole.
-Putain de connard de maître d’hôtel ! Ce connard ma demandai une pièce d identité il ma pris pour un prolo. Demain il pointe au chômage. Comment va Sakura, Sam elle dort encore ?
- Elle ne devrait pas tardée. Lui répondais je.
Juste au même moment elle nous rejoignait, « bonjour Bob on est prés ? Mes hommes attendent à l’entrepôts » nous dit elle. Bob lui répondit et nous prîmes la direction de la sortie. Bob me venta entre le restaurant et l’entrée les performances de sa nouvelle voiture une Porche Gt sport. Arrivé devant le Hilton je vis l’escadron de la mort qui était entrain de nous attendre. A la vue de celui-ci je su que Sakura avait mis toute les chance de son coté. L’escadron me fit signe, celui-ci était formé de huit membres dont j’étais le chef à l’époque de la prise de pouvoir de Sakura. Bob leur serra la main et demanda à Saku se qu’elle avait préparé. Elle nous fit par de son plan d’action. Deux de ses hommes avait réussi à récupérer des uniformes de maître d’hôtel et un chariot. Elle nous expliqua que ses deux la allaient se présenter comme étant le service d’étage tandis que moi et Bob rentreraient en force à l’ouverture de la porte. Les autres hommes de Sakura ferons le gué et attendront dans le Ford volé, équipé de fausses plaques. On l’emmènera les yeux bandés jusqu'à un yacht situé au port puis irai en haute mer pour le cuisiner un peu. Le plan se déroula sans un accro. L’escadron fit disparaître les preuves de sa venu au Hilton puis nous nous retrouvâmes sur le yacht de Sakura. Après avoir pris la mer nous fîmes monter Banner sur le pont. Nous étions tout les trois, elle enleva le bandeau des yeux de Banner et lui mis une gifle pour le réveiller.
-C’est bon tu es réveillé connard ? demanda Bob.
-Où suis-je pourquoi vous m’avez kidnappé ? Lui répondit Banner tout apeuré.
-Ne t’en fait pas, lui dit Sakura à l’oreille, ils ont l’air méchant comme ça mais si tu leurs dit se qu’il faut tout ira bien pour toi.
Banner avait beau avoir une carrure d’athlète et un visage buriné par l’alcool, il fessait grise mine devant nous. La peur commençait à l’envahir, ses yeux d’un bleu gris viraient au rouge sang. Son visage blanc craie fessait ressortir encore plus ses veines bleus marbrant ses joues creuses. Je me demandai comment Devide pouvait l’avoir prit comme comptable avec son allure d’alcoolique.
-Bon maintenant passons aux choses sérieuses. Lança bob sur un air d’impatience.
-Que voulez vous ? demanda Banner inquiet de se qui allai lui arriver.
-C’est simple lui dit Sakura tu répond à toutes nos questions et tout ira pour le mieux.
Malgré tout je savais que Banner ne pouvait pas retourner sur la terre ferme autrement que les deux pieds devant. Je pris la parole.
-Trois questions pas plus. Premièrement, qui t’a demandé de falsifier les comptes du casino. Deux, pour qui et trois, pourquoi ? Voila c’est tout.
Banner commença à comprendre qu’il n’avait pas trop le choix et qu’il avait voulu jouer avec plus fort que lui.
-On ma demandé de rectifier les comptes mais pas trop pour que la commission puisse voir l’erreur.
-Pourquoi ? Lui demanda Bob.
-Je sais pas, j’ai reçu un million je n’ai pas demandé plus de renseignement.
Le bras de Bob se leva et une gifle puissante finit sur la gueule de con de Banner.
-Prend nous pour des cons qui ta demandé de faire cela.
L’œil droit de Banner commença à gonfler sous le choc de la gifle. Celui ci après s’êtres pris claques sur claques par chacun de nous commença à avouer.
-Je ne sais pas pourquoi, je devais faire ça, je sais juste le nom du mec qui me la demandé. C’est Biaggi de la famille Barzotty. Ne me tuaient pas.
-Merci bien. Lui répondis-je.
Nous prîmes le chemin du retour et Banner fut reconduit dans sa chambre au Hilton, la il fut exécuté par mes soins. Il fallait que cela passe pour un accident, rien de plus simple pour un briscard comme moi. Un défibrillateur trafiqué sur un cœur en bonne santé et voila un arrêt cardiaque du plus naturel qui soit. Après cette petite escapade à Miami nous retournâmes avec dans nos bagages Bob Mesrine et Sakura.
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Le lendemain de notre retour, Carmine et parraine devait se présentaient devant la commission pour la licence de Parraine. Francky, Math, Jack et moi les accompagnaient. La limousine du casino nous déposa devant l’entrée du bâtiment. Ce bâtiment ressemblait à un tribunal avec ses grandes colonnes soutenant un fronton ou était gravé en lettres d’or « Commission of Nevada » des marches montaient jusqu’à l’imposante porte d’entrée. Carmine et Parraine accompagnaient de Francky rentrèrent dans la salle de conférence Jack, Math et moi attendirent dehors. Au bout d’une heure les portes de la salle s’ouvrirent et Carmine en sortit avec un large sourire. Francky avança vers nous en se ventant.
-Avec la putain de défense que j’avais préparé il n’y avait aucune chance pour eux.
Tout le monde se mit à rire et le petit groupe s’approcha dans la joie de cette victoire vers l’entrée. Nous arrivâmes sur les marches, le trottoir était désert, l’atmosphère était pesante et la chaleur était étouffante. Une bourrasque de vent chargé du sable du désert se leva, le soleil éblouissant m’empêchait de voir la route sur laquelle la voiture déboula. Les secondes furent des heures tout autour de nous se passa au ralenti. Un crissement de pneu se fit entendre poursuivit par un son assourdissant de déflagration de mitraillette. Tout le monde se baissa et sorti leurs armes. Mais cela ne servit à rien la voiture était déjà trop loin pour riposter. Dans le vacarme qui suivit je vis Math allongée par terre avec à ses côtés Carmine qui la prenait dans ses bras. La tache rouge située au niveau du flanc sur son chemisier me fit tout de suite voir la réalité. Elle était morte et cela se lisait dans les yeux de Carmine. Nous nous étions tous fait surprendre, l’habitude c’était joué de nous. Ce sentiment d’êtres intouchable, tout cela fut brisé à se moment !





CHAPITRE 4 GUERRE TOTALE ……..

CHAPITRE 4 GUERRE TOTALE ……..

New York, ville qui avait vu s’aimer Carmine et Math nous accueillaient en ce triste jour de funérailles. La pluie était au rendez vous pour lui rendre un dernier hommage, dans ce monde de mafieux le soleil ne fait pas parti de nos amis. La citée avait sorti ses habits de deuil : ses nuages gris voilaient le soleil et plongeaient la ville dans l’ombre la plus totale, son brouillard urbain piquant la figure et nous obligeant à plisser des yeux, masqué le reste des rues. Ses tours immenses de couleur monochrome composait de verre et de béton rétrécissait le paysage, ne laissant de place qu’à la cathédrale St Patrick et son parvis. Où une multitude de petit point noir attendaient de rendre un dernière hommage a celle qui leur avait tenu compagnie dans se monde d’Omerta. Cette cathédrale avec ses flèches vertigineuses et sa couleur grise accentuant cette impression de voir tout en noir et blanc fessant d’elle le centre d’intérêt de la ville en ce triste jour. Tout le monde était la, attendant le convoi funéraire. Toute la pègre du pays était réunie, quand à la famille Montana nous portions tous le deuil d’une amie. Carmine malgré sont chagrin certain ne le fessait pas ressentir et nous offrait un visage dure mais malgré tout déconfit par la tristesse. Jack et Franck étaient à ses côtés pour le soutenir, tout les deux aussi bouleversés. Wizzard qui contrôlait les rentrées des stupéfiants venant tout droit de Colombie, accompagnait Parrain noire. Arme X et Bill Bon étaient situés sur le parvis de l’église, quand à moi j’étais en compagnie de Sakura au niveau des marches principales de la cathédrale. Le convoi arriva après l’arrivée de Bob qui venait juste de présenter ses condoléances à Carmine. Les cloches de la cathédrale se mirent à sonnées déchirant le silence de la ville dans un bruit de douleur, figeant le cortége devant les marches. Celles ci étaient recouvertes d’un tapis rouge sang montant jusqu’à l’autel, des fleurs de lys blanche jonchaient le sol, des candélabres jouaient de leurs flammes oscillent avec le vent froid qui glacé nos âmes en se jour de recueillement . Nous avançâmes au niveau des portes du corbillard puis en sortirent le cercueil d’ében noir. Nous primes les poignets en or et montèrent les marches. Jack, Franck, Bob, Bill, Logan et moi passâmes devant Carmine. Je vis les larmes lui remplir les yeux à la vue du cercueil, renfermant son bien le plus chère. Malgré la force qu’il dégageait il ne pouvait pas se retenir de pleurer. L’évêque invita la famille à rentrer et ferma les portes. L’ambiance de l’église était plus chaude que celle de l’extérieur. Les centaines de cierges allumés laissaient flâner leur lumière vive sur les vitraux représentant des scènes religieuses. L’autel central était recouvert de fleur et de multitude de couronnes mortuaires jonchaient le sol. Carmine voulant que seul les Montana assistent aux funérailles ferma les portes de la demeure de dieux derrière lui comme un tome de sa vie. La cérémonie dura deux heures, à la sortie de l’église nous allâmes à la propriété de Carmine où Math fut enterrée parmis les membres de la famille. Cimetière où nous finirions tous.

Après l’enterrement, nous nous réunîmes tous en silence dans la salle de conférence du manoir. Le silence pesant fût brisé par la voix fébrile de Carmine. -Merci à tous pour votre soutient je suis fière de faire parti de cette famille. Je compte sur vous pour que ce crime envers la famille et envers moi personnellement ne reste pas impuni. Jack pris la parole. - Ne t’en fait pas je te promets que dans une semaine je t’emmènerai la raclure qui a fait cela. -Merci Jack, je suis sur que tu me ramèneras ce fils de putain. Nous parlâmes peu mais nous nous mîmes d’accord sur les points importants à traiter. Je repris le chemin de Las Vegas et des le lendemain matin fût appelé dans ma suite par Jack. -Sam tu me rejoint au bar de l’hôtel j’ai des nouvelles. -Pas de problèmes, j’arrive. -Et dit à Sakura qui est à côté de toi de se lever aussi.

Nous descendîmes au bar de l’hôtel au nous retrouvâmes Jack adossé au comptoir. La fatigue se lisait dans ses yeux gonflés, une barbe naissante apparaissait sur ses joues creuses. Il n’avait pas dormi depuis notre retour de New York. Il nous fit signe et nous invita à le rejoindre à une table dans le recoin du bar. Le bar était du même style que le casino, tapis rouge et nom du casino en lettre d’or. Sur le comptoir une douzaine de pompes à bière de toute sorte étaient alignées, impossible de ne pas trouvait une bonne pression à déguster. Nous nous approchâmes de la table désignée par Jack. La statue du dieu Horus nous invita à sa table, cette statue immense nous cacha un peu et nous mis dans l’intimité désirée pour pouvoir discuter. Jack nous proposa un coup à boire mais vu l’heure, s’enfiler des whiskys glace à la façon Jack me rebuta et je commandai un café.

-C’est bon je l’ai retrouvé ce connard, j’ai était voir l’ancien gérant du Snooker. Il se cache dans la planque de Biaggi c’est un de ses hommes. - Ta prévenu Carmine ?. Demandai-je. - Je lui ai affrété le jet du casino il devrait être entrain de décoller de New York. Sinon j’ai besoin de toi Saku. - Il y’a aucun problème, que puis je faire ? - Il me faut des hommes de main spécialisés dans l’intervention de masse, tu vois de quoi je veux parler. -Y’a aucun problème, je pense que Sam sera content de reprendre les commandes de l’escadron. -ça me rappellera la belle époque. Lançai je sur un ton amusé. -Ok Sakura tu les contact moi je passe chercher Carmine a l’aéroport fait moi signe des que vous êtes prêt.

Après avoir fini notre conversation et nos consommations nous prîmes congé de Jack qui après avoir passé toute la nuit dehors méritait bien un peu de repos. Je demandai à Sakura où étaient basés ses hommes. Elle me répondit qu’ils étaient, depuis la dernière intervention sur Miami, retourné à Hon Kong. Elle les rappela dans la demi heure qui suivie et leur ordonna de venir sur Las Vegas. « Il seront là dans deux jours » me dit –elle. Je proposai en attendant de faire une petite virée jusqu’à la brasserie de Salt Lake City, elle accepta mon invitation et partîmes tout les deux vers la réception de l’Horus. Je louai une voiture vu que ma Mercedes c’était perdu en route lors de mon premier voyage à Vegas. Mon choix se porta vite vers la petite Lotus Elise jaune rangée dans le fond de la concession rien de telle pour engloutir les kilomètres les cheveux aux vents.

Nous arrivâmes à la brasserie vers le début de l’après midi, et furent accueilli par ce bon vieux Bill. Son entreprise était l’une des plus grandes du pays, des centaines de camions citernes s’affairaient pour venir s’abreuver à la sources et diler leurs milliers de litres du breuvage magique mais « toxiques » pour le foie. Mais cette brasserie avec ses cuves de bières de toutes sortes et sa file de camion n’était qu’une façade propre de la production Bill Bon. Sa spécialité était le trafic d’armes et le déplacement d’un point A à un point B de tous matériels illicites. Ses camions lui servaient pour acheminer les armes dans tout le pays par le biais de double cuve très complexes et à la pointe de la technologie. De nombreux trafiquants fessaient appel à lui pour acheminer drogue, clandestins et autre. Tout ce que l’on voulait faire rentrer où sortir du pays passait obligatoirement par une filière de ce bon vieux Bill.

Bill arriva au guidon de sa KTM cross.
Les bras grands ouverts, il nous accueillîmes sur un ton jovial.
-Salut vous deux, alors voyage d’affaire, vous voulaient voir la spécialité maison ?
-On a une commande à passer pour une petite fête de famille donc tu vois ce qu’il nous faut c’est du lourd.
-Justement on en a de la chargée et bien alcoolisée.
-On va pouvoir faire la fête donc.
Nous nous mîmes à rire tous les trois et Bill nous invitâmes à venir visiter son usine. Tout en marchant il ne pus se retenir de nous venter les nouvelles performances de sa moto de courses . Bill était un fana de moto et de tous ce qui roule, il était l’heureux propriétaire d’une écurie de Moto de course mais qui ne finissait jamais le championnat. Ha les problèmes mécaniques ! Après une dizaine de minutes à déambuler entre les fenwicks et les cuves en inox, nous arrivâmes devant un hangar situé un peu à l’écart de l’usine. Le bâtiment était gardé par deux mecs en habit de surveillant. « Ne t’inquiète pas ils sont de la maison » me glissa Bill. Nous saluâmes les deux gardes et Bill s’approcha du boîtier pour le contrôle

rétinien. La porte s’ouvra est nous pénétrâmes dans l’entrepôt. Il y avait la dedans de quoi armer un pays en voit de développement: missiles sol/sol sol/air, des canons côtoyés les lances rockets et voitures blindées servant à la famille en temps de guerre pour nos déplacements, hélicoptères russes et même des mitraillettes posées sur des pieds télécommandés . En tournant ma tête je fut stupéfié de voir un char Leclerc de l’armée Française. Bill me regarda en souriant fière de lui et me dit :
-Petit Cadeau de la société d’assaut, j’attends l’avion pour ma collection personnelle. Mais je pense que cela et quand même un peut trop lourd pour notre opération vient plus par la, je te le ferrait essayé plus tard.
Nous nous dirigeâmes vers une autre pièce située sur la gauche de l’entrepôt, nous y rentrâmes et vus de quoi il voulait parlé. Tout l’armement des groupes d’assauts était dans cette pièce.

- Bon passons aux choses sérieuses pour combien et quelle sorte de mission ?
Sakura prit la parole :
- Huit soldats, quatre commandants pour une mission d’infiltration qui va finir en assaut.
- Huit soldats ! c’est ton escadron de chinois qu’il faut armer ? Demanda Bill.
- Tu as tout juste lui répondis-je.
- Alors pour eux j’ai ce qu’il faut, j’ai reçu des FNH 2000F plus en arme de poing des Glock Tactical ça devraient leurs plaire. Pour vous deux choisissaient.
Mon choix se posa sur deux Glock avec aide à la viser laser, Saku quand à elle avait plus de mal à se décider on aurai dit qu’elle était devenue une de c’est bourgeoises devant une bijouterie. Après quelques minutes sont choix se porta sur un Magnum et elle se pris un M16 équipé d’un lance grenade, la folie des grandeurs quoi !

-Pour le reste de la marchandise je te fais confiance Bill. Lui dit-je.
-Pas de problème, je te soigne ça ! Sinon j’ai des cadeaux pour vous, venaient voir.
Bill Bon s’approcha d’un coffre fort et en tapa la combinaison.
-Lorsque je les ai vu j’ai tout de suite pensé à vous deux. Les voilà !
Bill sorti de son coffre enroulé dans une étoffe deux Katana.
-Ils sont d’époque des pures Yasutsana de Hoki .Nous acceptâmes ce cadeau avec beaucoup d’honneur et lui promis de lui retourné l’ascenseur. Nous prîmes congé de notre hôte et retournâmes à LV. Après avoir essayé le Leclerc dans le champ a cotés de l’usine,bien sûr.

Après cette petite escale, nous nous dirigeâmes le lendemain avec Jack à l’aéroport chercher Carmine. Nous arrivâmes sur le tarmac lorsque l’avion se posa. Il se stoppa au niveau de la limousine, Carmine sorti de l’avion. Il était habillé en costume sombre, il portait toujours le deuil de Math et son apparence physique s’en fessait ressentir aussi. On avait l’impression qu’il avait maigri et ses grandes lunettes de soleil lui masquaient la moitié du visage marqué par le manque de sommeil. Sa garde rapprochée descendit avec lui les escaliers qui les menèrent vers le sol. Nous saluâmes tout le monde, l’ambiance était lourde, s’était la première fois que l’on revoyait Carmine depuis l’enterrement. Sa garde avait été doublée et ses hommes regardaient dans tout les sens prévoyant n’importe qu’elle attaque. Nous pénétrâmes dans la limousine blindée prêtait par Bill tandis que les gardes du corps prient place dans les deux Hummer. Le convoi se mit en route, la limousine encadrée par les deux autres véhicules. Nous arrivâmes à l’Horus’, Carmine et Jack partirent rejoindre Bob au bar tandis que Sakura et moi s’octroyons une petite pause avant la guerre de demain.

Le lendemain tout le monde se réunit dans la salle de conférence du casino. L’escadron était arrivait dans la nuit avec à sa tête Scythale un de mes anciens partenaires. Jack prie la parole.
-Bonjour à tous et bienvenu dans la capital du vice. Nous savons tous les circonstances pour lesquelles nous sommes réuni. Sam, si tu veux bien nous faire un briefing de la situation !
-L’homme que vous voyez à l’écran s’appel Biaggi fis-je. Il fait partie de la famille qui contrôle la moitié de Vegas:les Barzotty. Il y a quelques jours, lui et l’un de ses hommes, on lançait une vendetta contre nous s’en la moindre explication, provocant la mort de Mat. Voici la planque où il se cache, comme vous pouvait le voir sur les photos que Sakura vous fait passer nous avons plusieurs possibilités pour y pénétrer. Je pense que le plus simple et de ne pas se faire remarquer tant que nous ne sommes pas dans la maison. Pour cela nous passerons par la route, derrière, le but est simple, trouver Biaggi et l’emmener.

Pour le reste c’est « no limite » aucun témoin ! Pour l’escadron, les armes de Bill viennent d’arriver, si il y’ a des questions poser les maintenant ! Pas de questions ? rendez vous dans dix minutes dans le garage de l’hôtel.
Dix minutes plus tard nous étions tous réuni dans les garages du casino. Le camion citerne de Bill nous fournissant les armes était la aussi. Les deux Hummer noir d’hier étaient garés et attendaient d’êtres chargés. Jack arriva avec Carmine habillés tout les deux en tenu d’intervention noir. Jack porté à sa ceinture deux Beretta tandis que Carmine arborai un magnifique Colt à barillet tout chromé. Nous prirent place dans les véhicules, Scythale monta avec moi et Sakura, qui armait de son M16 ressemblé à un de ses mecs de la force Delta. Nous arrivâmes sur la route qui donnait sur l’arrière de la maison. Nous garâmes les Hummer prés à repartir

Nous avançâmes par trinômes Sakura, Scythales et moi sur la gauche, Jack, Carmine et un homme de l’escadron prirent à droite les deux autres trinômes prirent par le centre. Nous avions pour objectif la porte du garage à l’arrière de la bâtisse. Nous passâmes par-dessus le mur, après une progression rapide en boule de billard, nous nous trouvâmes à deux mètres du premier garde. Je fis une analyse vite fait, AK47 prit comme si il prenait une guitare et position du corps plus prête de la position pour dormir que celle pour riposter, « amateur !». Je fit signe à mes deux compagnons que je m’en charger. J’avançai recroquevillé jusqu'à êtres à bonne distance, je fixai mes yeux sur sa nuque et d’un bond vif et précis m’en saisis. Les vertèbres cervical se brisèrent dans un son sourd. Je tirai l’homme jusqu’aux fourrées puis fit signe à Saku et Scythale de me rejoindre tout en les couvrant lors de leur progression. Nous arrivâmes les deuxièmes au point de rencontre devant la porte du garage.

-Nous avons liquidé les deux gardes à droite nous chuchota Jack.
-On en a niqué un nous aussi. Tient voila les autres, lançai je !
Le reste de l’équipe nous rejoignaient juste. Scythale nous força la porte du garage avec l’un de ses gars. Puis Nous pénétrâmes dans le garage, quatre membres de l’escadron restèrent dehors en écoute radio. Le garage immense était rempli de bagnoles de luxe Mercedes, Lamborghini et autre étaient la alignées les une à coté des autres. Je fis signe à Carmine qui plaça des charges de C4 sous ces petits bijoux.
Nous avancions tranquillement dans se garage lorsque soudain une dizaine de mec armé surgirent de nulle part.
-Putain de merde on est grillé. No limite niquer moi tous ces connards.lança Jack.

La voix de Jack se fit loin et s’étouffa dans le bruit des détonations. Je me mis à couvert derrière la Mercedes Ses vitres volèrent en éclats, le verre brisé se répandit par terre, inondant le sol. Je me mire sur le coté de la voiture derrière le moteur seul parti qui peut protégée d’une balle de AK47 transperçant les deux portières comme dans du beurre.
J’alignai le premier gus qui passa dans ma ligne de mire et tirai. La balle atteignit la tête recouvrant de sang le capot de la BMW grise. Des balles me sifflèrent aux oreilles, je me retournai pour voir Sakura qui aligna deux cadavres de plus au tableau de chasse grâce à une rafale de M16. Etant à couvert derrière mon moteur, j’eu le temps d’analyser la situation. Une douzaine de mecs nous avaient prit en otage dans le garage de la demeure.

Ils gardaient les escaliers qui montaient jusqu’au premier étage. Il fallait les faire se disperser, je glissai de tout mon long entre les deux voitures qui était séparait de quelques mètres. Cela me fût facilité par la mare de sang qui s’était rependu sur le carrelage. Tout en glissant dans cette flaque visqueuse je tirai deux balles dans les jambes d’un des
gardes.
Celui-ci s’écroula de tout son long dans un cri de douleur. Je me remis vite fait à couvert derrière la Porche. Je vis Jack terminer le gus qui hurlait à la mort de deux balles dans la tête. Les voitures ne ressemblaient plus qu’a des épaves, les pneus étaient complètement déchirés en lambeaux, les vitres étaient pulvérisées laissant du verre feuilleté dans les moindres recoins. Il fallait trouver une solution rapide, je fis signe à Carmine pour qu’il me rejoigne.

-Je te couvre ! Lui lance-je.
Je me mis à tirer en rafale en direction des petites frappes devant nous. Ceci eu l’effet souhaité, ils se mire à couvert. Deux d’entre eux n’eues pas le temps de se baisser et reçu une balle dans la joue pour l’un, une dans le sternum pour l’autre. Carmine en profita pour me rejoindre.
-Tu as une grenade lacrymogène sur toi ? Lui demande je.
Il me fit un signe de tête positif. Je donnai l’ordre de mettre nos masques et il la balança d’un geste qu’il accomplit magnifiquement. Celle-ci atterris aux pieds des mecs et explosa dans un nuage de gaz nocif pour n’importe quel gus avec des poumons.

Toute la pièce fut envahie de gaz laissant les mecs tousser et cracher leurs boyaux, certain même étaient entrain de vomir. Sakura se leva et d’une rafale de mitraillette les faucha tous. Le gaz se dissipa et un tas de chair humaine sanguinolent de bras en charpies, de jambes coupées par les balles et de crânes explosés s'exposerent devant nous. Nous nous regardâmes tous.
-Bon, fini la discrétion, on passe au carnage ! Lança Jack.
Je demandai à Sycthale de poster ses hommes autours de la maison avec pour ordre de ne laisser personnes entrer ni sortir.
Je regardai Carmine et lui demandai je.
-On continu ? Tout en rigolant.
-Ok on va retrouver Biaggi.