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 Des voisins indésirables.

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parainen
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MessageSujet: Des voisins indésirables.   Des voisins indésirables. EmptyLun 5 Juin - 23:41

Par Parainenoir , Parain de la famille Montana

Ce jour là, je suis parti avec une petite cinquantaine d’hommes. Dans la camionnette où je me trouvais, tous les gars étaient têtes baissées, le lourd que masquait un peu le bruit du moteur, commençait a se faire insupportable quand le chauffeur gueula que la maison de ce connard de Beckzouzou était en vue. Ce petit chef de bande à me les cassées grave, lui et ses mecs viennent taguer des putains de croix gammée sur mes murs. Pour qui ils se prennent ? Je passe pour qui moi avec ces merdes sur mon bâtiment ? Et puis mes filles ne travail pas quand elles nettoient les murs. Alors moi je restais calme je leur gueulais juste dessus tous les matins où ils se pointaient. Ils se calmaient deux jours puit revenaient et se foutaient de moi. Bon je me disais que cela ne valait pas un massacre et qu’ils finiront par comprendre que là il s’attaque à plus gros que eux. Mais hier quand Tania et revenue toute tabassée par leurs soins, je me suis directement mis à organiser une opération pour liquider ses chiens. Dix mecs du FBI, trente héros de la gâchette et une dizaine de casseurs cela vas compte, ils avaient cas pas me chercher. Action, le gars qu’est au volant met un grand coup de frein à main, dérape enclenche la marche arrière en direction de la porte que je vois déjà de la lunette arrière. On ouvre les portières à la volé puis je place mes hommes de chaque cotés de l’entrée du hangar.
Un casseur fort comme deux ours frappe d’un puisant coups de masse la porte qui vole en éclats. PAN PAN PAN ! Là problème, le géant est éjecté en arrière avec deux balles dans le torse et une dans le bras. J’avais pas prévus cela, je voyais ces petits con munis de battes de base balle et voila qu’ils défendent leur entré à la mitraillette Gatline. Merde fait chier, le ciel et noir, le caniveau rouge du sang d’un de mes homme, merde ce gars avait une femme un gosse et des amis, s’est moche mais je jure de te venger mec.
Je passe furtivement ma tête par l’entrebâillement de la porte défoncée. J’aperçois la machine de mort posée là avec allongé derrière mais la fumée de clope mêlée à celle de l’arme m’empêche de bien voir sa sale gueule. Je demande mon bon vieux Artik sniper, sa tête va éclater, son sang va repeindre en rouge les murs poisseux qui servent à abriter ces merdeux. J’ordonne un tir de couverture, les premiers coups de feux partent, le bruit n’est pas loin de me faire éclater les tympans. Je m’installe rapidement sur le siège avant de la camionnette, je colle mon yeux contre la lunette, je zoom, j’ai sa tête au plein milieu du viseur. Je presse la détente, le coup part, la puissance du recule fait percuter le fer de mon arme sur mon épaule qui à force de semer le mort, ne sent même plus le choque. Je lève rapidement la tête afin de voir le résultat : le corps du jeune nazi est posé sans tête sur la mitraillette qui fume encor d’avoir de calibre 22mm. Je me dit que ce foutu voyage dans la glaciale Sibérie d’où j’ai ramener mon arme, n’a pas servi qu’a me geler les tripes.
Je braille à mes hommes de rentre prudemment et de récupérer la Gatline. Tous mes hommes sont déjà à couvert quand je pose mon premier pied dans le corridor de l’entrée. Tout est sombre, je vois des cafards courir au milieu de meutes de rats. Les plafonds comme les murs transpirent d’humidité qui fait couler en longues traînées noires la peinture qui, ici et là dessine des croix nazie ou des portraits d’Hitler. Avec quelques planches, de la laine de verre et deux ou trois jours de boulot pour les filles afin de faire briller ces murs aux couleurs de la famille, on pourra faire quelque chose de cette bâtisse. Mais avent de rêver, il faut je débarrassé de la vermine qui grouille en ces lieux.
Je sors mes deux Désert-Eagles 5.0 des lanières de cuire qui les retenaient prisonniers sur mes avants bras.
Je sépare mes hommes en trois groupes, un qui prend à gauche l’autre que je charge de la droite alors que je commence l’ascensions des escaliers qui se présentent à nous avec le troisième détachement. Les grincements du vieux bois de la cage d’escalier appellent un gros lard qui se met à courir tête bêche sur moi. Pas moyen de l’esquiver pour le laisser s’écrasé en bas. Je braque alors un de mes flingues pour lui faire cracher une balle au milieu des deux yeux du skin, le gros s’écrase au milieu des marches. Putain, le coup de feu à du alerté les autre, je dit à mes hommes de se presser, on piétine le cadavre pour franchir les dernières marches. Le couloire d’en haut est encombré de canapés et de tas de parpaings, tandis que des coups de feu rugissent du rezdchossé, j’aboie à mes hommes de se mettre à couvert. A peine me suis-je planqué derrière un vieux fauteuil que je vois surgir une dizaine d’hommes armés de barres de fers et de vieux fusils de chasse. J’ouvre le feu en ordonnant un tir de couverture, deux hommes tombent, les autres répliquent PAN PAN un de mes hommes s’écroule au sol.
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parainen
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MessageSujet: Re: Des voisins indésirables.   Des voisins indésirables. EmptyLun 5 Juin - 23:42

suite demain
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parainen
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MessageSujet: Re: Des voisins indésirables.   Des voisins indésirables. EmptyJeu 8 Juin - 1:10

Alors que mes deux pistolets rugissent en ne laissant que la mort et la douleur, une mélodie se met a résonner dans ma tête, elle m’endolorie l’esprit, m’empêche de penser. Je crie des ordres à mes hommes telle une machine, sans sentiments aucun, et tout d’un coup, la mélodie s’arrête, le vacarme qu’elle couvrait aussi, la mort a fini son office tout le monde se regarde, je cour en direction de mon homme tombé, sa vas il ne rien, qu’une petite blessure à l’épaule mais il tiendra, il est entraîné pour cela. J’ordonne à trois de mes gars de fouiller le reste de l’étage, puis je me ré engouffre, suivi du reste de ma compagnie, dans les escaliers où le cadavre commence déjà à puer. Arrivé en bas je demande à Max le fort, d’aider le blessé à regagner la camionnette, puis je m’engage dans le dédale de couloirs. Au bout de quelques pas, nous tombâmes nez à nez avec une parterre de cadavres déjà tous infestés de mouches et d’asticots qui embaumé la pièce d’une odeur si agréable que quelques uns de mes gars eurent des aux le cœurs ce qui leurs à quasiment fait rendre leur repas du midi. J’effectue une brève inspection et déclare que tous ces macabés iraient aux cochons et que ici aucun des notre ns serait à pleurer. Dans une petite salle un peu plus long sur la droite, on retrouve quelques hommes entrain de fumer des cigarioces à la vanille. Bilan deux blessés légers et aucun mort.
Je commence moi aussi à me sortir une clope quand soudainement, des coups de feux retentissent de l’aile gauche du bâtiment. Je gueule aux autres qui avait déjà commencé à s’activer, de me suivre prudemment. On longe les murs pleins de poussière, je sent la transpiration que dégage les dessus de bras de mes hommes et cela ne m’aide pas à vouloir maintenir mon allure ralentit, mais je sais bien qu’il le faut. Au bout d’une distance durement parcouru, je me stop net devant une petite porte de bois peint et que le vent a dut laisser entrouverte. Je me penche pour pouvoir regarder à l’intérieur de la pièce qui se trouve cachée par cette porte, et d’où semble provenir les bruits d’arme. Je vois mes hommes acculés sur la défensive avec en face d’eux le gros des troupes adverses commandé par Beckzouzou qui se trouve allonger derrière une deuxième Gatline. Aucuns des deux camps ne pouvaient réellement prendre l’avantage sur l’autre, bien qu’ils s’envoyaient des fois quelques balles histoires dépatter la galerie. Je me mis à observer attentivement la salle afin d’analyser toutes les solutions qui pouvaient s’offrirent à nous. Au bout du troisième balayage, mon regard flashe sur une petite porte qui s’ouvre sur le flan ennemi, que rêver de mieux ? Je dit à mes hommes de s’emparer de trois ou quatre des bidons vides qui traînent dans le coin, puis je calcule en gros un angle que nous devrions utiliser pour atteindre l’ennemi. Arrivé devant la porte en question, je fais disposer les bidons, qui vont nous servir d’abris, en fonction de mes petits calculs. Une fois l’installation terminée, je gueule à l’homme qui est installé derrière la Gatline d’ouvrir le feu alors que je venais juste de finir de me positionner en batterie, le feu déchiquette qui vole en éclat, alors qu’une de mes balles vient fendre l’air pour finir …
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parainen
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MessageSujet: Re: Des voisins indésirables.   Des voisins indésirables. EmptyJeu 8 Juin - 1:11

suite plus tard Razz Laughing
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parainen
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MessageSujet: Re: Des voisins indésirables.   Des voisins indésirables. EmptyVen 9 Juin - 2:10

Dans la gorge de Beckzouzou qui me l’avait laissé a découvert en se relèvent précipitamment lors du balayage de ces troupes par des balles de 22mm. La surprise et la terreur déniche instantanément les rats de leurs trous qui se mettent alors à courir dans tous le sens entre deux feux ennemis. Au bout de moment qui me parut une éternité, j’ordonna le cessé le feu, à ce moment plus aucun homme adverse ne se trouvé debout, la dernière équipe vient nous rejoindre avec quelques petites blessures par si par là, mais rien de bien grave. Je laisse mes mecs pour aller dire au conducteur de la camionnette d’aller à l’hôpital de Jack pour faire soigner les blessés et pour qu’ils rendent le corps de mort plus présentable pour le jour de son enterrement. Au passage, je pris une caisse de ce bon vieux Whisky de la brasserie de Sakura. Je rejoins mes hommes qui accueillent les bras ouverts mon chargement. Le fête bas son plein quand je décide de stopper la ma descente d’alcool pour allez téléphoner a Tania afin quelle voit se que l’on a fait de ces pourris qui l’avait passé à tabac, j’appelle aussi Claude l’éboueur de se genres de situations, pour qu’il vienne chercher les macabés des skins et qu’il les donne à l’équipes de porcs numéros cinq, c’elle ci qu’il avait pas nourri pendant quinze jours et pour qui ces cadavres seront du coqs en pâte. Après un quart d’heure d’attente Tania arriva accompagné de dix filles toutes des femmes des hommes qui venaient de se battre. Claude lui gara son camion une demie heure après mon coups de fils en me disant qu’il était désoler du retard mais qu’il était entrain de nourrir l’équipe numéro quatre avec les petits merdeux que l’on avait descendu après qu’ils nous soient tombé dessus lors de notre dernière grande réunion de famille. Il a amené avec lui deux équipes de nettoyage qui bossairent durant deux jours pour remettre à neuf toute la baraque. Une fois le travail terminé je lui fila sont du pour le travail et il me dit que c’était toujours un plaisir pour lui que de travailler avec moi. Je lui avoua que je préférerai le rencontrai assis sur les gros fauteuils du bar de l’ArmeX pour siroté un ou deux verres. Il se mit à rire et parti en me élan que cela n’était pas dans l’air du temps. Au bout d’une semaine de rénovations, je quitte ce nouveau bâtiment au volant de ma Ford Mustang Shelbie GT 500 alors que les couleurs de la famille règnent maintenant partout en son sien. Aven de rentrer au bercail, je me rend au commissariat pour y corrompre quelques flics pour qu’ils gardent la maison. Chose faite, j’appui a fond sur l’accélérateur de mon monstre sur roues si bien que je suis rendu chez moi en moins de temps qu’il en faut pour le dire. A peine ai-je poussé la porte de ma maison que je me fait sauter dessus par Parker qui me brandi avec fierté une bouteille de son nouveau Whisky pur malt dont il m’avait venté les mérites deux semaines plus tôt. Nous allâmes nous asseoir dans le salon pour discuter un moment Cigare au bec que s’est bon de recevoir un membre de la famille, après que je lui est raconté ma semaine nous nous quittâmes sur une amicale poigné de mains. Alors que le voila parti en titubant, je commence à monter les escaliers qui mènent a la salle dans un état pas bien meilleur que le sien. Je teste enfin cette nouvelle douche a jets que j’est fait installé là il y a quelques jours, l’eau me brûle la peau et me purifie l’âme mieux que le ferai n’importe quel curé. Après cet sublime instant je vais me glissé dans les bras de ma belle Tania qui commença à me couvrir de baisés. Tout est rentré dans l’ordre.

FIN
Récit et fautes d’orthographe par Parainenoir Parain de la famille Montana.
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