les missions à la con

Une heure et demi, devant les néon rose de ce putain de night –club pour les aficionados : Le CHARLYFOLIE’S. La foule s’amassais et utilisais tout les subterfuges pour réussir à rentrer. Moi, je n’étais pas venu pour la danse ni pour les putes de quinze ans qui tapinnaient devant les videurs histoire de passer à l’œil malgré l’interdiction sur les mineures.
Non moi quand on fait appel a mes besoin c’est rarement pour s’amuser. Ce lieu de débauche pour jeunes pubères accros à LIONA et à ALIZEE, appartenait à une organisation qui montait. Maintenant fallais racket et oui C’est comme ça si tu veut monter .Problème la réponse était revenu négative. Et mon Boss Tony n’aimais pas trop les grandes gueules, voilà pourquoi je me trouvais maintenant devant se boui-boui.
Les Videurs n’avait pas était trop difficile à calmer, ils se sont vite rangeaient a ma cause devant mes deux copains »DESERT’EAGLES » sa forge le respect .Me voilà donc dans le night problème : n’étant pas un habituer des lieux : ou pouvait bien se situer ce putain de bureau. Et oui qui dit mission simple dit plan d’approche pourri .Pas de problème il suffit de demander au barman
-Hé toi !!!
-OUI que veut tu mon chou ?
Pardon mais la c’était trop. Il se retrouva la tête sur le comptoir et la lame de mon TENTO sur les couilles.
-Le bureau ?
Cette fiote c’était pissée dessus.
-Pitiez ,c La porte au font du couloir.
-Merci.
Je traversai le couloir et arrivai devant la porte. Celle-ci volait en morceau, est je me trouvai devant le dénommé Barbichette le tenancier de cette boite de gays. Il n’eu pas le temps d’ouvrir son tiroir qu’i se retrouva sur le sol .Qu’a-t-il comme arme se connard ? J’ouvris le tiroir et la à ma grande surprise une bombe lacry quel con.
Je lui dit les formules de politesse et lui expliqua comment payer tout les mois à STARKE entreprise.
Je sorti est alla me manger un putain de kebab au VILLAR un bar appartenant a Bob mesrine.
Et oui il y a des fois on se demande ou son les larbins pour les missions de merde.

J’avais eu vent par l’un de mes indics de l’attaque d’un des bâtiments de mon Boss.
Des la sortie du bar, je passais un coup de file a Starke sur sa ligne privée. Impossible de le joindre, celui-ci avait été prendre du bon temps pour le week- end à LAS VEGAS .Putain de merde, aucun de ses conseillari était là. Je pris les commandes du business, j’alertais les gars de l’entrepôt qu’il me fallait du matos des camions et de la main-d’œuvre.
Heureusement j’ai toujours deux, trois Taï dans ma cave sa portent bien et sa coûte pas cher.
Arrivé devant l’entrepôts aucun camion à l’horizon je chope le gas par le col et lui demande
-Où ils sont.
- Ils sont à l’autre bout de la ville Starke en avait besoin la dernière fois,ils en on pour minimum une heure.
-Si c’est connard d’ours repartent avec quelques choses je te coupe la tête et l’offre au boss en compensation.
-Pardon je ne savais pas.
Tu parle une tête de con pour compenser tout ce qu’il y avait dans l’entrepôts c’est plutôt moi qui allais payer….
Plus qu’à attendre, j’avais l’air malin avec mes Taï sur le bord de la route j’allais faire quoi pendant une heure! : Une CRAPETTE.
Une heure plus tard, voilà enfin ces camions : C’est quoi ces trucs des Ford de la guerre ()Je savais Starke nostalgique mais là c’était vraiment l’apothéose .Mes petits Taï se mis au travail est chargea le plus possible les camions. Des caisses tombaient et se brisaient, déversant un flot d’armes et de munitions.
-Putain ramassés tout ,et bougeaient votre cul Sinon sa risque de déménager quand ils vont arriver.
En trente minutes, tout était chargé ne laissant que quelques caisses d’alcool pour le déplacement.
Les ours penseront à nous en se saoulant ce soir.

J’étais devenu un détective privé depuis deux, trois jours.
Un mec se nommant Scythale intervenais dans notre forum .Il recrutait des hommes et en rackettai d’autre sous notre nez .Mais merde, qui était il ? ! comment pouvait il en savoir autant sur notre organisation. Starke m’avait laissé les plein pouvoir pour élucider cette affaire interne .J’écumais les tripos pour savoir si quelqu’un l’avait déjà vu. Ce mec était une ombre selon les barmans qui avaient eus affaire à ses hommes de main. Ils ne savaient jamais à qui ils donnaient l’argent et où elle allait. Le seul moyen rapide et peu onéreux, c’était de chopper un de ses hommes de main et de le faire parler. J’attendais plusieurs jours dans une chambre miteuse dont la fenêtre donnait sur la devanture d’une blanchisserie rackettée par Scythale. Au bout du huitième jour je vis une vielle Ford se garer devant et deux guss sortir de celle-ci la batte de baseball à la main. Aussitôt je descendis les escaliers de secours. Je me glissa sur le siège arrière et j’attendis .Après cinq bonne minutes de voitures avec mes deux colosses, je sorti de derrière la banquette.
Le conducteur se retrouva avec mon Magnum sur la tempe et l’autre avec ma lame sur la gorge.
-Roule jusqu’au dock. Connard !
Nous nous posâmes moi et mes deux clampins devant un entrepôt sur les docks. Je les fis entrer dans l’entrepôts et commença à en interrogeais un.
-Pour qui tu boss connard ?
-Va te faire foutre.
Je pris un marteau et après quelque doigts pettaient celui-ci commença à parler.
-Je boss pour Scythale.
-Je le sait de quel famille et-il ?
-Je te le dirai pas plutôt mourir.
Pas de problème quand on me demande gentiment je suis toujours prêt a rendre service. La balle lui traversa la boite crânienne et se logea à trente centimètre de l’autre con qui attendait son tour.
-Alors ?
Se connard c’était chier dessus.
-Il est de la mONtana connecxion pauvre tarer ils vont te faire la peau.
Alors la les bras mon tomba j’étais entrain de torturer des mec de ma famille.
Son vrai nom c FISTI.
Le mec se prit une balle dans la tête,aussitôt le morceau craché. Tu m’excusera FiSti ,j’aime pas les balances. Quand à l’autre je lui assurai des funérailles dignes et mis sa femme à l’égard du besoin.
FISTI si tu veut je te paye un verre pour le dédommagement.